10 ans de l’attentat contre Charlie Hebdo : l’héritage de la liberté d’expression, de la laïcité et la vision des jeunes

Aujourd’hui, le 7 janvier 2025, nous marquons les 10 ans du tragique attentat contre Charlie Hebdo. Cet événement a choqué le monde et mis en lumière la laïcité, l’un des piliers fondamentaux de la République française.

L’attentat a entraîné une mobilisation sans précédent pour défendre la liberté de la presse et rendre hommage aux victimes. « Je suis Charlie » est devenu le cri de résistance à la censure, une prise de position ferme contre les attaques à la liberté d’expression.

À ce moment-là, la liberté d’expression a été défendue comme un droit fondamental, mais 10 ans plus tard, nous nous demandons : pourquoi le discours sur la liberté d’expression n’est-il plus le même ? La société a changé, et les défis auxquels nous faisons face aujourd’hui sont différents, avec de nouvelles questions sur la laïcité, la pluralité des opinions et le rôle de la liberté dans le débat public.

Portugal : Le phœnix de l’Union européenne

Autrefois perçu comme à la traîne, le Portugal a connu une avancée surprenante depuis la crise de 2011 et semble renaître de ses cendres. Si les politiques d’austérité ont marqué le pays et provoqué des tensions avec ses partenaires du Nord, les Portugais restent très favorables à l’Union Européenne.

Jeunes et démocratie : nouveaux électeurs à l’ère des réseaux sociaux

La loi du 22 juin 2022 autorisant les jeunes de 16 et 17 ans à voter aux élections européennes a permis à la Belgique, à l’instar de l’Autriche, de l’Allemagne et de Malte, d’ouvrir le droit de vote à cette tranche d’âge. Cette mesure visait à encourager une plus grande participation de la jeunesse au processus démocratique. Les jeunes ont-ils répondu à l’appel ? Vers quels partis se sont-ils tournés pour exprimer leurs choix ? De quelle manière s’informent-ils sur la politique et quelles sont les méthodes mises en place par les partis politiques pour atteindre cette cible ?

Pour une défense européenne

Manger de l’agneau néo zélandais alors que des agriculteurs belges en produisent sur notre territoire ? Importer du poulet brésilien en échange de voitures bientôt interdites à la vente en Europe ? Se spécialiser dans les cultures cotées en bourse en vue de les valoriser sur le marché internationale ?
On marche sur la tête non ? Tel le slogan des premiers agriculteurs ayant lancé le mouvement historique de protestation des agriculteurs début 2024 en retournant les panneaux d’entrée des villes.

Libéralisation de l’agriculture, jusqu’où ira l’Europe ? L’agriculture européenne sacrifiée sur l’autel du libre marché ?

Manger de l’agneau néo zélandais alors que des agriculteurs belges en produisent sur notre territoire ? Importer du poulet brésilien en échange de voitures bientôt interdites à la vente en Europe ? Se spécialiser dans les cultures cotées en bourse en vue de les valoriser sur le marché internationale ?
On marche sur la tête non ? Tel le slogan des premiers agriculteurs ayant lancé le mouvement historique de protestation des agriculteurs début 2024 en retournant les panneaux d’entrée des villes.

De Mansholt au Pacte Vert, Pour un changement systémique face à la crise écologique ?

1972. Une année passée sous les radars de l’histoire. Pourtant cette année-là aurait bien pu marquer en Europe un changement de cap radical sur la politique menée à l’époque par la Communauté économique européenne (CEE), aujourd’hui Union Européenne.

Rapport Meadows, lettre Mansholt, lutte du Larzac, premier sommet de la terre à Stockholm, ou encore colloque Écologie et Révolution réunissant les principaux penseurs de l’écologie de l’époque : Edgar Morin, Andre Gorz, Herbert Marcusse, Edmond Maire, etc.

A l’heure du Pacte vert, présenté fin 2019 par la Commission européenne, avec pour ambition la neutralité climatique pour l’Union européenne en 2050, la politique environnementale menée par l’UE représente-t’elle ce réel changement de cap préconisé par l’ancien président de la Commission européenne, Sicco Mansholt dans une lettre visionnaire en 1972 ?

Extrême droite, Bolloré et réseaux sociaux : Histoire d’une idylle

Comment a-t-on pu en arriver là ? Nous sommes beaucoup à se l’être demandé à la suite des élections belges, européennes et à la dissolution de l’assemblée en France. Une partie de la réponse réside peut-être du côté du paysage médiatique, et de l’effort fournit par l’extrême droite pour garantir sa légitimité. Entre l’empire Bolloré, les publicités ciblées sur les réseaux sociaux, la séduction des jeunes apolitiques sur TikTok et les attaques coordonnées sur Twitter, l’extrême droite déploie tous les moyens pour imposer son discours et étendre son influence.

Ce que la prison fait aux femmes

En 2008, dans le monde c’était un peu plus d’un demi-million de femmes adultes et mineures qui étaient incarcérées, soit de manière préventive, soit à la suite d’une condamnation.[1] En 2022, elles étaient plus de 740 000 femmes en prison dans le monde. [2]

Les femmes sont donc beaucoup moins nombreuses que les hommes à effectuer leur peine en prison. On retrouve des chiffres assez similaires en Europe avec 4,7 % et un peu plus élevés au niveau mondial avec 6,9 %.1 Cependant, il existe de fortes disparités selon les pays en 2006: elles représentaient 26,6 % au Maldives pour seulement 1,7 % en Azerbaïdjan. [3]

Comment expliquer une telle différence de proportion entre les hommes et les femmes incarcérés ? Les chiffres laissent à première vue penser que les femmes commettent moins de délits et donc qu’elles sont moins délinquantes que les hommes. C’est partiellement vrai.

Femmes de détenu.e.s : l’ombre des barreaux, le poids des liens

La problématique des détenu.e.s et des répercussions sur leur entourage constitue un sujet souvent méconnu et sous-estimé. Parmi les proches, les femmes, qu’il s’agisse des mères, des grands-mères, des filles, des petites-filles, des sœurs, des tantes, des nièces ou des compagnes, occupent une place cruciale, mais souvent invisible. Ces femmes, considérées comme des victimes collatérales de l’incarcération, affrontent une réalité marquée par des luttes émotionnelles, psychologiques et économiques. Leur vécu est souvent exacerbé par la stigmatisation sociale et l’isolement, des éléments qui méritent d’être examinés avec soin. Cet article vise à mettre en lumière les défis que rencontrent ces femmes, tout en suscitant une prise de conscience sur les conséquences de l’incarcération, non seulement pour les détenu.e.s, mais également pour leurs proches, en particulier les femmes.

Quelle égalité dans le sport ?

Tous égaux dans le sport …

L’important c’est de participer…

Participer certes mais pas seulement…

Inégalités de salaire, de traitement, invisibilité, …pour certains ; fortune, flashs, hôtels de luxe, voyages en première classe, … pour d’autres

C’est souvent ça le sport de haut niveau ! des exceptions ? il y en a … quelques-unes

A la veille d’une nouvelle édition des Jeux olympiques, il est intéressant de s’intéresser à la place qu’occupe la femme dans le sport, quelle est celles des personnes non ou moins valides, qu’en est-il de l’homophobie, des transsexuels ? Et le racisme ?